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Paru le 2008-09-12 13:03:00 | 10257 lectures
Dans un article publié dans La Tribune de Genève, Stéphane Bern tacle Rachida Dati, lui reprochant de manipuler les médias dans le cadre de sa grossesse et allant même jusqu'à citer le nom des pères potentiels.
Dans son article, Stéphane Bern n'y va pas par quatre chemins : "Ceux qui commençaient à se plaindre de la politique-spectacle risquent de ne pas être au bout de leurs peines. Jamais grossesse n’a été mieux médiatiquement orchestrée". Et celui qui a longtemps été l'animateur le plus lisse du PAF de préciser sa pensée : "Imaginez un peu une femme ministre, ravissante mais célibataire, souffrant d’un déficit de popularité publique et d’un refroidissement dans ses relations avec le président Sarkozy: si elle avait voulu rester discrète, elle serait arrivée dans la Cour de l’Elysée, pour le conseil des Ministres, en robe noire un peu vaporeuse, suffisamment évasée pour cacher les prémices d’une maternité. Non, pour cultiver sans doute le mystère, elle a opté résolument pour un pantalon ajusté près du corps et un pull noir assorti ne dissimulant rien de son prochain bonheur".
Dans ce même article, Stéphane Bern n'hésite pas à se prêter au jeu du "qui est le père de l'enfant de Rachida Dati ?", citant plusieurs noms et s'attardant longuement sur la rumeur Jose-Maria Aznar (voir article).
Dans une interview accordée à Le Post, Stéphane Bern s'explique sur ce qui l'a poussé à écrire un tel article. "Déjà, ma chronique est censée être drôle. Et oui, je m'estime le droit de poser la question de savoir qui est le père. J'ai osé en parler à partir du moment où elle a déclaré: 'Ma vie privée est compliquée' et que le lendemain, Aznar dément être le père. Car après le démenti d'un ancien premier ministre, cela devient une affaire politique. À partir de ce moment-là, le sujet n'est plus dans la sphère privée. Il arrive dans la sphère publique" déclare le spécialiste des têtes couronnées.
Ce dernier insiste pourtant sur le fait que son article sur la Garde des Sceaux n'a rien de personnel : "Je n'ai rien contre elle. Mais pour moi, Rachida Dati représente la politique spectacle. Les politiques sont devenus des people comme les autres".
Stéphane Bern a également tenu à préciser pourquoi il n'avait pas hésité à donner des noms sur le père potentiel de l'enfant de la ministre : "Sur la question de la vie privée, ma position est claire: je pense qu'il faut maintenir un respect absolu de la vie privée des politiques. Mais à partir du moment où ce sont eux qui mettent en scène leur vie privée -comme c'est le cas avec Rachida Dati- les médias peuvent en parler".
D'ailleurs, d'après lui, Rachida Dati donnera elle-même le nom du père de son enfant très bientôt. "Vous verrez: Rachida Dati va bientôt dire elle-même le nom du père de son enfant. Elle va faire en sorte que cela se sache" affirme Stéphane Bern sans la moindre hésitation.
On attend de voir Stéphane.
Paru le 2008-09-12 13:03:00 | 10257 lectures
Dans un article publié dans La Tribune de Genève, Stéphane Bern tacle Rachida Dati, lui reprochant de manipuler les médias dans le cadre de sa grossesse et allant même jusqu'à citer le nom des pères potentiels.
Dans son article, Stéphane Bern n'y va pas par quatre chemins : "Ceux qui commençaient à se plaindre de la politique-spectacle risquent de ne pas être au bout de leurs peines. Jamais grossesse n’a été mieux médiatiquement orchestrée". Et celui qui a longtemps été l'animateur le plus lisse du PAF de préciser sa pensée : "Imaginez un peu une femme ministre, ravissante mais célibataire, souffrant d’un déficit de popularité publique et d’un refroidissement dans ses relations avec le président Sarkozy: si elle avait voulu rester discrète, elle serait arrivée dans la Cour de l’Elysée, pour le conseil des Ministres, en robe noire un peu vaporeuse, suffisamment évasée pour cacher les prémices d’une maternité. Non, pour cultiver sans doute le mystère, elle a opté résolument pour un pantalon ajusté près du corps et un pull noir assorti ne dissimulant rien de son prochain bonheur".
Dans ce même article, Stéphane Bern n'hésite pas à se prêter au jeu du "qui est le père de l'enfant de Rachida Dati ?", citant plusieurs noms et s'attardant longuement sur la rumeur Jose-Maria Aznar (voir article).
Dans une interview accordée à Le Post, Stéphane Bern s'explique sur ce qui l'a poussé à écrire un tel article. "Déjà, ma chronique est censée être drôle. Et oui, je m'estime le droit de poser la question de savoir qui est le père. J'ai osé en parler à partir du moment où elle a déclaré: 'Ma vie privée est compliquée' et que le lendemain, Aznar dément être le père. Car après le démenti d'un ancien premier ministre, cela devient une affaire politique. À partir de ce moment-là, le sujet n'est plus dans la sphère privée. Il arrive dans la sphère publique" déclare le spécialiste des têtes couronnées.
Ce dernier insiste pourtant sur le fait que son article sur la Garde des Sceaux n'a rien de personnel : "Je n'ai rien contre elle. Mais pour moi, Rachida Dati représente la politique spectacle. Les politiques sont devenus des people comme les autres".
Stéphane Bern a également tenu à préciser pourquoi il n'avait pas hésité à donner des noms sur le père potentiel de l'enfant de la ministre : "Sur la question de la vie privée, ma position est claire: je pense qu'il faut maintenir un respect absolu de la vie privée des politiques. Mais à partir du moment où ce sont eux qui mettent en scène leur vie privée -comme c'est le cas avec Rachida Dati- les médias peuvent en parler".
D'ailleurs, d'après lui, Rachida Dati donnera elle-même le nom du père de son enfant très bientôt. "Vous verrez: Rachida Dati va bientôt dire elle-même le nom du père de son enfant. Elle va faire en sorte que cela se sache" affirme Stéphane Bern sans la moindre hésitation.
On attend de voir Stéphane.