ah là on voit mieux je crois:
Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2008/12/18/article.php?sid=77086&cid=4
Régions : BÉCHAR Ouverture du Festival international du cinéma «le Taghit d’or» |
Débarquer à Taghit à 5 heures du matin, sous un beau ciel d’hiver après un périple sur les routes enneigées du Sud-Ouest algérien, c’est déjà un spectacle qui s’offre à vous pour vous annoncer qu’il ne manque que le coup de projecteur pour que la lumière «fut», et que le festival débute au rythme des projections de films en compétition et en panorama.
Pour cette deuxième édition, le Taghit d’or s’est voulu international avec en compétition 26 films qui tenteront de mériter cette distinction qui couronne les courts métrages. Les compétiteurs sont venus de trois continents, l’Afrique, l’Asie et l’Europe, et nous proposent des productions cinématographiques dans lesquelles ils ont mis leur sensibilité et un savoir-faire qui départagera les réalisateurs au bout de quatre jours de projections. Le Taghit d’or, pour rappel, est institué depuis l’an dernier, comme festival du court métrage, sous le patronage du président Bouteflika et du secrétariat d’Etat chargé de la communication. La présidente de cette manifestation, Mlle Yasmine Chouikh, souhaite que ce rendez-vous soit le cadre propice pour des rencontres entre cinéastes, des discussions et de partage des expériences autour du quatrième art. Cette édition a orienté, cette année, ses ateliers de formation vers le cadre et la lumière dans le cinéma. Le premier film à être projeté (hors compétition) est un documentaire sur Gillo Pontecorvo intitulé Gillo, le chevalier, l’ami, Gli Amori, réalisateur du film La Bataille d’Alger en 1966. Ce travail, qui est un hommage à cette grande figure du cinéma italien qui «a réalisé des films difficiles», nous renseigne sur l’engagement de cet homme pour la défense des causes justes. Sa femme nous a confié que le lauréat du Lion d’or au festival de Venise «a cessé de faire des films parce que le monde qui l’entoure manquait, à son sens, de vitalité pour les causes justes, un monde aplani par la marchandisation ». Cet après-midi, à 16 h, débutera la projection des films en compétition, sept au total, dans une khayma conçue pour accueillir le public, les réalisateurs et le jury constitué de cinq personnes, dont Selma Bekar, réalisatrice venue de Tunisie. Pour cette édition, la présidente nous a confié qu’il y aura un nouveau prix, intitulé La Caméra d’or qui sera décerné au meilleur film algérien, qu’il soit en compétition ou hors compétition, et ce pour encourager la production nationale.
Menad Embarek
Pour cette deuxième édition, le Taghit d’or s’est voulu international avec en compétition 26 films qui tenteront de mériter cette distinction qui couronne les courts métrages. Les compétiteurs sont venus de trois continents, l’Afrique, l’Asie et l’Europe, et nous proposent des productions cinématographiques dans lesquelles ils ont mis leur sensibilité et un savoir-faire qui départagera les réalisateurs au bout de quatre jours de projections. Le Taghit d’or, pour rappel, est institué depuis l’an dernier, comme festival du court métrage, sous le patronage du président Bouteflika et du secrétariat d’Etat chargé de la communication. La présidente de cette manifestation, Mlle Yasmine Chouikh, souhaite que ce rendez-vous soit le cadre propice pour des rencontres entre cinéastes, des discussions et de partage des expériences autour du quatrième art. Cette édition a orienté, cette année, ses ateliers de formation vers le cadre et la lumière dans le cinéma. Le premier film à être projeté (hors compétition) est un documentaire sur Gillo Pontecorvo intitulé Gillo, le chevalier, l’ami, Gli Amori, réalisateur du film La Bataille d’Alger en 1966. Ce travail, qui est un hommage à cette grande figure du cinéma italien qui «a réalisé des films difficiles», nous renseigne sur l’engagement de cet homme pour la défense des causes justes. Sa femme nous a confié que le lauréat du Lion d’or au festival de Venise «a cessé de faire des films parce que le monde qui l’entoure manquait, à son sens, de vitalité pour les causes justes, un monde aplani par la marchandisation ». Cet après-midi, à 16 h, débutera la projection des films en compétition, sept au total, dans une khayma conçue pour accueillir le public, les réalisateurs et le jury constitué de cinq personnes, dont Selma Bekar, réalisatrice venue de Tunisie. Pour cette édition, la présidente nous a confié qu’il y aura un nouveau prix, intitulé La Caméra d’or qui sera décerné au meilleur film algérien, qu’il soit en compétition ou hors compétition, et ce pour encourager la production nationale.
Menad Embarek
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